L’activité professionnelle est la première cause d’une apparition de Troubles Musculo-Squelettiques, et première cause d’indemnisation pour maladie professionnelle en France selon le site Ameli.fr de la Sécurité Sociale. En effet, 70 % des maladies TMS sont recensées actuellement, et sont inscrites dans le tableau des maladies professionnelles. Beaucoup de salariés travaillent aujourd’hui par le biais d’un ordinateur au bureau, ou doivent apporter des soins méticuleux à leur travail, qui leur demandent des gestes répétitifs.
Le gaming, responsable des TMS ?
Concernant les plus jeunes, l’activité « gaming » est à l’origine des TMS, ils restent plus longtemps devant leur ordinateur, dans la même position assise provoquant des tensions musculaires et des douleurs. Selon une étude américaine, 1 enfant sur 5 souffriraient de douleurs aux articulations, au moyen des manettes, ou souris d’ordinateur, mais également du dos, du fait d’une mauvaise posture ou d’un matériel non adapté.
Que ce soit pour des raisons professionnelles ou de loisirs, les TMS les plus fréquentes sont les lombalgies (douleurs au bas du dos), les cervicalgies (douleurs à la tête), le syndrome du canal carpien (généralement le pouce, voire les articulations des doigts), ou encore épicondylite (touchant les genoux).
Quels sont les facteurs principaux des TMS ?
Ces facteurs se retrouvent souvent chez les personnes à leur lieu de travail, mais peuvent aussi se retrouver chez les « gamers ». Les motifs sont en premier lieu physique : les TMS sont le résultat d’un mouvement de force ou trop récurrents ; cela peut être dû aussi à des mauvaises postures ; des contractions de certaines zones du corps telles que le coude, le poignet, la tête… Cela peut être enfin déclenché par un travail statique ou les nombreuses vibrations d’un gros véhicule, un camion ou un bus par exemple.
Il existe également des facteurs psychologiques, qui se retrouvent souvent dans une activité professionnelle comme le stress des délais parfois trop courts, le manque de reconnaissance ou de soutien du supérieur, mais aussi l’insécurité de l’emploi pour les personnes en CDD, qui sont souvent des jeunes.
Quels sont les traitements et la prévention des TMS ?
Il n’y a pas de traitement miracle concernant les TMS : la solution est généralement médicamenteuse, la douleur peut s’atténuer en prenant des antalgiques ou des anti-inflammatoires. La rééducation et la kinésithérapie se sont avérées également très prometteuses pour soulager les muscles ou les os.
Les joueurs comme les employés peuvent aussi arrêter ou réduire leurs activités afin de calmer les douleurs, et mettre en place des pauses pour ainsi éviter la répétition des mêmes mouvements. L’aspect psychologique est plus délicat à prendre en charge, mais il est possible d’être suivi par un psychologue dans le but de mettre à plat les problèmes intérieurs et tenter de trouver des solutions adaptées.
Au niveau prévention, il est aussi difficile de prendre en charge les TMS. Il est important de prendre en compte les risques physiques et psychologiques de cette maladie, mais aussi les identifier selon les personnes et leur situation professionnelle ou personnelle. La prévention doit venir de ces personnes, qui devront limiter leurs heures passées devant un écran par exemple, ou devra provenir des employeurs en adaptant le lieu de travail et modifiant les équipements, entre autres l’utilisation de chaises confortables
L’utilisation de chaises pour lutter contre les TMS
Pour un rapport qualité / prix assuré, la chaise gaming Aerone est particulièrement adaptée pour diminuer les douleurs générées par les TMS. Les chaises sont fabriquées d’éléments solides et sont très confortables, grâces à de nombreux rembourrages au niveau du dossier, du siège, ainsi que des accoudoirs.
Ces chaises sont réellement un outil indispensable pour les personnes passant une grande partie de leur journée sur un ordinateur, que ce soit pour le plaisir ou le travail, avec la garantie d’une protection du dos grâce aux coussins réservés aux lombaires, mais aussi de la tête. Les sièges peuvent s’ajuster selon une hauteur ou un angle modifiable à tout moment ; il est possible de les personnaliser, en ajoutant des couleurs, ou même en insérant un repose-jambes qui est accroché et se range sous le siège.